Combien de mystifications jalonnent notre connaissance du passé du monde, et surtout combien de non-dits dont la révélation dépasserait l’entendement et ébranlerait l’histoire telle qu’elle nous est contée !

Notre planète nous expose les stigmates d’un passé bien plus riche que celui dépeint par les institutions censées transmettre et diffuser le savoir.

Lumière sur les Temps a pour objectif de jeter un coup de projecteur sur des zones d’ombre de l’histoire non explorées par malveillance, incurie, idéologie ou frilosité.

jeudi 6 novembre 2014

Histoire du climat et alarme des media

En 2012, la fonte prodigieuse de la calotte glaciaire sur le Groenland laissait présager le pire et suscitait la panique chez tous les acteurs de la défense et de la préservation de l’environnement.

Voilà le type d'information alarmiste que tous les media de bon aloi, à savoir sensationnalistes et mercantiles, s'empressent de diffuser en décriant à pleins poumons que l'activité industrielle et polluante de l'homme fait courir un danger mortel à notre vie sur Terre. Ce qui est moins souvent relayé, ce sont les nuances apportées par certains spécialistes, telle la glaciologue Lora Koenig qui nous indiquait alors que le phénomène intervient tous les 150 ans en moyenne : 
 "La dernière ayant eu lieu en 1889, cet événement est bien au rendez-vous", a-t-elle dit. "Mais si nous continuons à observer ce type de fonte au cours des prochaines années, ce sera angoissant".

En 2013, la calotte glaciaire reprend 60% de son étendue, sans que l'on sache vraiment pourquoi.
La Nature aurait-elle tout simplement décidé de faire à sa manière sans daigner prévenir les éminents alarmistes, infirmant sans s'en préoccuper leurs théories cataclysmiques ?

Au milieu du 19ème siècle, le glacier de Chamonix était remonté au plus haut de mémoire d'homme.Il est aujourd'hui plus important qu'alors...

Le GIEC (Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat) vient d'émettre une sonnette d'alarme dans son dernier rapport rendu public. En 2100, la température mondiale aura grimpé, en moyenne, de 4 degrés. La faute en est, selon eux, à l'émission massive de gaz à effets de serre. Or, cette corrélation est loin d'être une vérité scientifique, et ne s'appuie que sur un empirisme trivial qui nous fait assimiler la hausse de la température à l'effet de serre. Le GIEC nous révèle, paradoxalement, qu'une telle concentration de gaz à effet de serre ne peut être comparée en intensité qu'à celle ayant eu cours il y a 800000 ans ! A moins que le GIEC n'ait des informations fracassantes sur une humanité industrialisée en ces temps reculés, je ne vois pas en quoi l'activité humaine est coupable - tout au plus de créer des circonstances aggravantes. Rappelons, par ailleurs, qu'un pic d'une telle concentration est naturel tous les 100000 ans environ. Notre planète est gérée par la Nature qui lui imprime un cycle "respiratoire." Et les variations dont elle est capable ont parfois été bien plus brusques (20 à 100 ans), ce qui est bien plus rapide que les quelques 0,6 degrés gagnés en près d'un siècle.

Bref, l'étude scientifique de l'Histoire du climat est une chose sérieuse que les media et très probablement les historiens d'un proche lendemain contredisent sans vergogne à seul but sensationnaliste, lucratif et intéressé.

Que les institutions écologistes s'occupent plus des rejets massifs de déchets domestiques ou industriels qui polluent nos mers, nos rivières, nos forêts serait bien plus judicieux. Attention, les émissions de gaz massives des industries ne sont pas non plus anodines, et mon propos n'est pas de dire que ces émissions sont sans importance. Il faut cependant apporter la nuance suivante : ne pas confondre circonstances légèrement aggravantes et cause principale.
 

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