Combien de mystifications jalonnent notre connaissance du passé du monde, et surtout combien de non-dits dont la révélation dépasserait l’entendement et ébranlerait l’histoire telle qu’elle nous est contée !

Notre planète nous expose les stigmates d’un passé bien plus riche que celui dépeint par les institutions censées transmettre et diffuser le savoir.

Lumière sur les Temps a pour objectif de jeter un coup de projecteur sur des zones d’ombre de l’histoire non explorées par malveillance, incurie, idéologie ou frilosité.

mardi 30 septembre 2014

Héros de l'aviation

Beaucoup connaissent ou ont entendu parler de Charles Lindbergh, le célèbre aviateur américain qui fut, nous dit l'histoire, le premier a avoir traversé l'Atlantique en avion, sans escale. A bord du non moins célèbre Spirit of Saint Louis, il réalise la traversée New York-Paris, en mai 1927, sur 5800 kilomètres ! 

Mais qui connait l'Amiral Gago Coutinho et Sacadura Cabral, deux aviateurs portugais qui ont traversé l'Atlantique entre Lisbonne et Rio de Janeiro en 1922 sur plus de 7500 kilomètres ?
Les Etats-Unis, déjà puissants aux yeux du monde avaient leur héros dont il était plus aisé de diffuser l'exploit que celui des deux Portugais dont le pays sombrait dans le brouillard en une période de république trop jeune, laquelle n'allait pas tarder à laisser place à la dictature obscurantiste et autarciste de Salazar.


Ajoutons, à propos de Lindbergh, (outre sa postérité plus brillante que celles de Sacadura Cabral et de Gago Coutinho), que sa personnalité et ses engagements sont, eux, très peu connus du grand public. 
En effet, il était ardent défenseur de la non-intervention des Etats-Unis dans la seconde guerre mondiale, et refusait de voir son pays se mêler au conflit dont les instigateurs étaient selon ses termes "les Britanniques, les Juifs et l'administration Roosevelt". Décoré par Goering en 1936 lors d'un voyage au cours duquel, mandaté par les Etats-Unis, Lindbergh devait s'enquérir des capacités de la Luftwaffe, le héros revêtit aussitôt la panoplie de l'antisémite du fait de certains bien-pensants, dont tous ceux qui voulaient voir les Etats-Unis entrer en guerre.

lundi 29 septembre 2014

Antarctique

L'Antarctique semble ne pas avoir toujours été le désert blanc que l'on connait aujourd'hui !
Selon la science actuelle et autorisée, ce continent est sous la glace depuis environ 6 millions d'années. Dans ce cas, comment expliquer les cartes et planisphères réalisés entre le XV et XVIII èmes siècles sur lequels le contient apparaît avec une topographie bien étrangement similaire à ce qu'elle est réellement ?
D'autant que la NASA vient de présenter sa toute nouvelle version :


Oronce Finé, le célèbre cartographe en 1531 :


Et pour attiser notre perplexité, voici deux nouvelles captures des fonds sous-marins, au large de l'Antarctique :



Les media font notre Histoire de demain


L’Histoire de demain est notre actualité ; je préciserai : l’Histoire officielle de demain est l’actualité que l’on nous sert aujourd’hui dans les media. Ces derniers étant à la solde de décideurs nébuleux, voilà comment les faits se travestissent selon les desseins du pouvoir.

Ces desseins n’étant pas les mêmes aux quatre coins du monde, l’Histoire enseignée en Russie ne sera pas la même qu’aux Etats-Unis ou au Yémen.



Ainsi, il y a quelques mois encore, la coalition occidentale menée par les USA qui aurait pu se mettre en place pour bombarder la Syrie de Bachar El Assad a été tuée dans l’œuf par l’assaut diplomatique menaçant de la Russie de Poutine cherchant à préserver son plus grand fournisseur de pétrole. Mais depuis, l’ISIL est née, merveilleux prétexte pour entamer une campagne militaire décidée par les USA, au nom des sempiternels pétrodollars qui ne veulent aucune concurrence. Les frappes ne se bornent donc plus au seul Irak où se trouveraient les troupes islamistes de l’ISIL, mais également en Syrie, où des raffineries prétendument passées aux mains des islamistes ont été bombardées.

N’y aurait-il pas manipulation ? D’où l’origine d’une Histoire à façon…


vendredi 26 septembre 2014

Peuplement des Amériques

L'UNESCO atteste officiellement une datation plus ancienne du peuplement du continent américain.
L'institution a classé le site de la Serra da Capivara (Brésil) au patrimoine mondial. Des gravures rupestres datant de plus de 25000 ans ! Et dans la fiche détaillée du site, 50000 ans sont annoncés pour la plus ancienne occupation du continent par l'homme ! 
Cela change bien des choses au vu de la théorie officielle qui s'effrite de plus en plus ! La datation de 12000 ans évoquant une migration asiatique passant par la mer de Béring alors gelée ne suffit plus à expliciter le peuplement.



ci-dessous le lien vers la fiche du site de la Serra da Capivara.
http://whc.unesco.org/en/list/606

Ce qui peut paraître perturbant est que la datation plus ancienne correspond à une région du continent américain (nord-est du Brésil) où aucune trace d'une civilisation développée n'a éclos (à l'instar des peuples hautement civilisés qui ont occupé l'Amérique centrale jusqu'au Pérou). 


De quoi échafauder de nouvelles théories.....

mercredi 24 septembre 2014

Scanneur laser aéroporté

 Aujourd'hui, grâce à une nouvelle méthode de détection pour les archéologues, le scanneur laser aéroporté, on peut enfin espérer découvrir de nouveaux sites archéologiques que la nature nous cache sous son activité.
Pour exemple, le document ci-dessous, en Meurthe-et-Moselle :

Image LiDAR ombrée obtenue à partir du MNT, d’un secteur au sud de la forêt de Haye, lieudit « Champ la chèvre ».
Outre les routes et chemins forestiers, bordés de carrières, on observe les parcellaires, les voies antiques, marquées par une double ligne de murées, et les habitats composés d’enclos entourant un ou plusieurs bâtiments.



Pourquoi ne généralise-t-on pas l'utilisation de cette merveilleuse technique dans le monde entier ? 
Parions cependant, sans prendre trop de risques, qu'elle est déjà employée ; la diffusion des découvertes, elle, traîne....

Alvao, Glozel, Dispilio, Vinca,...

Qui, à part quelques-uns parmi les franc-tireurs de la connaissance ou les détracteurs de la même, connait les sites archéologiques de Alvao au Portugal, Glozel en France, Dispilio en Grèce ou Vinca en Serbie ?
Et pourtant, ces quatre sites dont le nombre augmenterait si l'on prêtait attention et financement à la recherche d'autres vestiges similaires, semblent nous démontrer l'existence d'une écriture alphabétiforme antérieure à celle admise comme étant la première, la Phénicienne.
En Europe, une civilisation se développa avec une écriture propre, en une période comprise entre -8000 et -3000 avant JC.
Les concordances entre les écrits retrouvés dans ces différents sites sont très nettes. Et que les détracteurs se ravisent et ne crient pas à la supercherie, car les sites ayant été découverts sur plusieurs décennies, le canular est hors de propos.


lundi 22 septembre 2014

Sujets évoqués par le livre


Lumière sur les Temps a pour principal objectif de transmettre des informations tues, édulcorées ou méconnues portant sur l’archéologie, l’Histoire, les mythes et la science.
Ainsi, dans la première partie, lumière est faite sur certains aspects authentiques mais non enseignés de l’ordre des Templiers
 


sur quelques découvreurs de l’Amérique avant Colomb, sur la véritable nationalité de ce dernier,
 


ou bien encore sur les origines de l’homme dont le berceau africain semble être une théorie hâtive, et les relations entre Neandertal et Homo sapiens au vu des dernières découvertes scientifiques.

 
Dans la deuxième partie, il est question des erreurs délibérées ou non de l’Histoire telle qu’elle nous est enseignée concernant la naissance de la civilisation sur notre planète. En effet, bien des vestiges nous prouvent que notre histoire est bien plus ancienne ; certains sites déjà sont connus à l’instar de Gobekli Tepe 
 


 
sans pour autant que les institutions daignent changer d’un iota leur version, mais il en est bien plus dont je révèle les coordonnées GPS pour un visionnage sans équivoque et ouvert à tous désormais grâce à internet.

 
Dans la troisième partie, enfin, j’y expose quelques théories de mon propre chef, comme la véritable fonction du djed, cet objet censé représenter un sceptre dans l’Egypte antique.

 
En conclusion, l’Histoire de l’humanité remonte à des temps plus anciens que Sumer, et si l’on en tenait compte, bien des mystères, aujourd’hui considérés comme tels, trouveraient une explication dans la reconnaissance de savoirs et de techniques considérées anachroniques mais dont les preuves jonchent notre planète, à la surface et sous les mers.

samedi 20 septembre 2014

De l'Asie aux Amériques

Selon la version officielle, il est toujours fait référence à l'origine du peuplement de l'Amérique par la migration de peuples d'Asie, il y a environ 14000 ans, à la faveur de la glaciation de la mer de Béring.

Mais pourquoi, dans ce cas, - et c'est ce qu'insinue à bon escient Christian Lemoy dans son ouvrage De l'Asie antique à l'Amérique précolombienne-, les populations restées en Amérique du Nord ont-elles développé une civilisation bien inférieure en envergure, en culture, en technique, en science et même en concepts non substantiels à l'instar de la religion que les populations installées depuis le Mexique actuel jusqu'au sud du continent ?
Il est plus vraisemblable que deux migrations aient eu lieu, l'une au Nord et l'autre sur les côtes de l'Amérique centrale et du sud, cette dernière étant le fait d'un peuple trans-pacifique déjà civilisé.

Contrairement à ce que l'on pourrait penser, ce masque n'est pas le travail d'un artiste précolombien mais celui d'un artiste chinois sous la dynastie Shang.

Et puis, n'oublions pas que les Chinois connaissaient la roue en des temps bien reculés, tout comme les peuples d'Amérique centrale et du sud (malgré ce qu'en dit l'Histoire officielle). Les Indiens d'Amérique du nord, eux, ne semblaient pas détenir cette invention.

jeudi 18 septembre 2014

Interview en téléchargement

Il vous est possible d 'accéder à l'interview en téléchargeant le podcast sur le site de Bob dit toute la vérité pour 1 euro.

http://www.bob-toutelaverite.fr/categorie/podcasts/bob-vous-dit-toute-la-verite


mardi 16 septembre 2014

Interview 17/09 BTLV

Je vous donne rendez-vous demain 
mercredi 17 septembre 2014 à 22h00 
sur la webradio de Bob vous dit toute la Vérité.


Voilà un franc-tireur des media qui a pour fer de lance la diffusion des opinions à contre-courant...

http://www.bob-toutelaverite.fr/

samedi 13 septembre 2014

Extrait de Lumière sur les Temps

Ci-dessous le lien créé par mon éditeur afin d'accéder à l'extrait :

www.edilivre.com/frontwidget/preview/book/id/605682/

mercredi 10 septembre 2014

Au fond des mers

Non, ce n'est pas un montage, et sur google aisément visible ! Au fond de l'océan pacifique...


Nouvelle capture

Non, je ne dévoilerai pas sur ce blog tous les sites engloutis que j'ai déjà répertoriés, mais je vous en livre un ci-dessous. Qui, sans mentir, pourrait nous affirmer qu'il s'agit là d'effets naturels ? (pour info, au large de Terre-Neuve)


lundi 8 septembre 2014

Les tertres de Poverty Point

L'un des derniers sites inscrits au patrimoine mondial de l'humanité par l'UNESCO est l'ensemble de tertres et autres constructions de Poverty Point aux Etats-Unis (cinq monticules, six crêtes semi-elliptiques concentriques, une esplanade centrale et les vestiges d’une chaussée), datant de 3700 à 3100 avnt JC.
Jusque là tout va bien, mais lorsque cette merveilleuse institution qu'est l'UNESCO nous décrit ces vestiges comme ayant été la réalisation de chasseurs-pêcheurs-cueilleurs, la perplexité doublée d'un rire amer m'étreint ! Quand va-t-on cesser de nous seriner les mêmes inepties ?




vendredi 5 septembre 2014

Un historien à contre-courant

Jean Sévillia est l'exemple le plus criant et le plus brillant de l'historien qui n'a que faire des directives implicites des institutions ; bien au contraire, son cheval de bataille est la diffusion des faits et non des interprétations nées de conjectures politico-économiques.
Il ne faut guère s'étonner qu'il dénonce, en 2011, l'infléchissement de l'enseignement de l'Histoire en primaire et au collège où Clovis, Louis XIV et Napoléon ont tout simplement disparu des programmes ! Pour quelle raison ? Etaient-ils trop représentatifs d'une France guerrière, conquérante et, donc, pas suffisamment dans la contrition, la repentance et la tolérance à tout-va de bon ton ?



L'Art et le progrès

Lorsque l'Art représentatif laisse place en des exercices somptueux à la géométrisation du réel et notamment de la figure humaine, nul ne saurait affirmer que des chasseurs-cueilleurs en sont les créateurs !





La roue chez les Précolombiens

L'un des grands mensonges de l'Histoire, plus qu'une ineptie car il s'agissait pour le conquérant européen de minimiser le savoir autochtone, est d'avoir toujours nié la connaissance de la roue chez les peuples précolombiens.
La preuve du contraire sous vos yeux, et provenant d'une source officielle :


Nazca

Bien plus déroutantes encore que les pétroglyphes évoquant des représentations d'animaux ou même d'humain (cf l'Astronaute), les grandes lignes ou bandes rectilignes, parfois accompagnées de spirales, figurent parmi les vestiges les plus impressionnants à la surface de notre planète. D'autant que la version officielle en impute l'élaboration à un peuple à peine plus évolué que des chasseurs-cueilleurs. Quand l'Histoire daignera-t-elle respecter le bon sens et l'intellect du public ?



A la surface

A la surface, également, des tracés étranges sillonnent la Terre. Pour preuve, l'image ci-dessous représentant la région du sud ouest du site de Mogao en Chine.


Sous les eaux, les preuves

Voici des captures d'écran d'images satellite officielles. Elles sont tout simplement extraordinaires et entérinent par elles seules l'hypothèse de vestiges inexplorés, mais de quelles civilisations ?
N'oublions pas qu'il y a 20000 ans, le niveau de l'océan atlantique était de 120 à 150 mètres inférieur à ce qu'il est aujourd'hui ! Le Déluge n'est-il qu'un mythe ?
Ces deux images illustrent deux des nombreuses coordonnées satellite indiquant des sites non explorés que j'ai recensé dans mon livre.

Au sud ouest de Madère :


Au sud ouest du Groenland :



Entre livre et blog

Nombreux sont les sujets qui constituent les articles de ce blog qui sont plus largement abordés dans l'ouvrage en marge. 
Pour des raisons contractuelles, je ne peux bien évidemment pas m'épancher de la même façon sur internet. Le bon sens commande également à cette économie. Il serait indécent de ma part de feindre me désintéresser des ventes de mon livre.
Les images, photos et dessins sont a contrario un petit plus que me permet internet.

jeudi 4 septembre 2014

Découverte du Nord Est américain


Portuguese Exploration along the Northeast Coast of North America

During the first quarter of the sixteenth century, Portuguese sailors were active in exploring and exploiting the cod fisheries found in the North Atlantic and along the northeast coast of North America. Possibly the first of these was the Azorean sailor João Fernandes, who was known by his rank, lavrador (i.e., small landowner or peasant). In 1499 and again during the next few years, he joined with several Bristol merchants in sailing to Greenland and possibly Labrador (which bears his name). In 1500 and 1501, Gaspar Corte-Real and his brother Miguel, members of the Portuguese royal household, sailed to Greenland, Labrador, and possibly Newfoundland, which was subsequently labeled "Terra del Rey de Portuguall" on several early maps. During the next twenty years, there is scattered evidence to suggest that Portuguese fishermen were also visiting the Grand Banks and the coastal waters of Newfoundland to exploit the cod (bacalhau) fisheries. Around 1520, a Portuguese nobleman, João Álvares Fagundes, explored the southern coast of Newfoundland and may have reached the mouth of the St. Lawrence River and the Nova Scotia coast. Four years later, Estêvão Gomes, sailing for Spain, reached Nova Scotia and sailed south along the North American coast, possibly as far as the Chesapeake Bay. Gomes, who was a native of Porto in northern Portugal, had served as a pilot for Fernão de Magalhães in 1519.
Although few detailed accounts or maps have survived from these voyages, the accomplishments were incorporated into several early sixteenth-century maps including a 1529 world map prepared for the Spanish crown by Diogo Ribeiro. Portuguese by birth, Ribeiro was responsible for revising and updating the official world map (padron real) as news of discoveries was received. Because only two copies of the Ribeiro map are extant, a tracing of the western hemisphere portion made by the nineteenth-century German historical geographer Johann Georg Kohl from the original copy in Weimar, Germany, is displayed here. Documenting the Portuguese discoveries in the North Atlantic are several prominently displayed place names -- "Tierra del Labrador," "Tierra de los Bacallaos" (actually listed as "Tierra Nueva de los Bacallaos" -- the Newfoundland of the cod fisheries -- on a 1532 map), and "Tierra de Estevan Gomez."
Johann Georg Kohl. Map of America, by Diego Ribero, 1529. [1850?]. Pen, ink, and watercolor. Geography and Map Division, Kohl Collection no. 41 (4).

Découverte de la Californie par les Européens

Grâce au fonds exceptionnel de la Library of Congress de Washington, j'ai déniché un document signifiant quels furent les premiers européens à fouler le sol californien :


Cabrilho's Discovery of California

Portuguese were also involved in the exploration of the west coast of North America. In 1542-43, Portuguese-born João Rodrigues Cabrilho and his chief pilot Bartolomé Ferrelo, who may have been Portuguese, were the first Europeans to explore the coast of the present state of California. Sailing for Spain, Cabrilho left in June of 1542 from Navidad on the west coast of Mexico and proceeded north. He reached San Diego Bay in September, becoming the first European to set foot in what is today the state of California. He continued north along the California coast but died in January 1543 from an infection resulting from a broken arm. Ferrelo, his pilot, continued north, possibly reaching the Oregon coast in March 1543.

Cabrilho's and Ferrelo's voyages are indicated by light reddish brown and light blue on this reconstructed map compiled by the nineteenth-century German historical geographer Johann Georg Kohl. A student of America's discovery and exploration, Kohl prepared this map, as well as similar maps of the Atlantic and Gulf Coasts, as a graphic device for summarizing and visualizing the area covered by the various explorers. The extent of each explorer's travels is indicated in a different color.


Johann Georg Kohl. A Map Showing the Progress of Discovery on the West Coast of the U.S. and Vancouver Island. 1857. Pen, ink, and watercolor. Geography and Map Division, Kohl Collection, miscellaneous (5).

Les mystères des cartes

Dans le livre, vous pourrez découvrir le nom et l'hypothétique emplacement d'îles aujourd'hui inconnues, pourtant apposées sur les cartes des plus grands cartographes.
Pour exemple, la splendide mappemonde de Joao Teixeira Albernaz de 1630, nous indiquant l'île de Brésil, les Maidas, etc...


Pour info, ce document exceptionnel est conservé à la Library of Congress de Washington parmi tant d'autres trésors que les Etats-Unis ont jugé bon d'acquérir.

Puma Punku, Bolivie

Puma Punku, voisine encore peu connue de Tiahuanaco, sur l'Altiplano andin, répond parfaitement aux critères de dangerosité établis par les historiens. Des techniques avancées, anachroniques en apparence, des constructions dont le but échappe à l'entendement, et voilà un site prodigieux dont l'existence n'est que trop peu diffusée.




Gobekli Tepe

Gobekli Tepe, ses 12000 ans attestés par les chercheurs, ses 7000 ans d'avance sur Sumer...
Mais quel ouvrage pour nous questionner sur ces 70 siècles méconnus que l'Histoire officielle feint d'ignorer ?



La raison d'être du livre


Combien de mystifications jalonnent notre connaissance du passé du monde, et surtout combien de non-dits dont la révélation dépasseraient l’entendement et ébranleraient l’Histoire telle qu’elle nous est contée !
Notre planète nous expose les stigmates d’un passé bien plus riche que celui dépeint par les institutions censées transmettre et diffuser le savoir.
Lumière sur les Temps a pour objectif  de jeter un coup de projecteur sur des zones d’ombre de l’Histoire, non explorées par malveillance, incurie, idéologie ou frilosité.
           

Parution de Lumière sur les Temps

Lumière sur les Temps vient de paraître le 4 septembre aux Editions EDILIVRE.

http://www.edilivre.com/lumiere-sur-les-temps-patrick-fernandes.html